Vous vous êtes sûrement déjà demandé comment font ces champions qui livrent de grandes performances en demeurant zen sous la pression et le stress ?
Que ce soit dans une discipline sportive, artistique ou en entreprise, comment arrivent-ils à donner le meilleur d’eux-mêmes pour se surpasser sans se laisser dépasser par le stress ?
Comme vous pouvez l’imaginer, ils ont des modes de fonctionnement qui leur permettent de maintenir leur état d’esprit de haute performance. C’est pour cela que John Eliot, psychologue et coach américain, a analysé et modélisé ce mindset.
Comment se surpasser en restant zen
Un livre de motivation
L’auteur nous en livre les pépites issues de ses recherches et de son expérience, dans son ouvrage intitulé “Overachievement, The science of working less to achieve more”. (Editions First Diversion Books, 2015)
Malheureusement, il ne semble pas avoir été traduit en français, car je l’ai trouvé seulement en anglais sur les plateformes de vente en ligne. Mais littéralement, on peut comprendre “le surpassement de soi, la science de réaliser plus en travaillant moins” (Bon, si une meilleure traduction vous vient en tête, n’hésitez pas à la laisser en commentaire ! 😉).
Le livre s’adresse aux personnes qui veulent atteindre leur plein potentiel dans leurs réalisations. D’une part, en maîtrisant leur stress et d’autre part, en développant la confiance en soi.
Un mot rapide sur l’auteur
John Eliot est professeur universitaire de psychologie de l’organisation et de la performance. Il enseigne aussi le leadership et l’éthique.
En tant que coach, on peut dire qu’il a eu un bel échantillon de performers à observer puisqu’il compte parmi sa clientèle, plusieurs hauts dirigeants du top Fortune 500, des célèbres chirurgiens et artistes, ainsi que des athlètes olympiques.
A travers plus de 270 pages, le coach-psychologue s’attaque aux concepts qui sont les plus couramment utilisées et plébiscitées dans le développement personnel.
En effet, John Eliot veut faire changer les idées communes sur lesquelles sont basées les stratégies de gestion du stress et d’optimisation de la performance. Basant son approche sur ses expériences sur le terrain et sur des recherches en neuropsychologie, il démontre à travers des exemples concrets pourquoi ces tendances du développement personnel ne sont pas efficaces pour la majorité des individus.
Les 7 erreurs du développement personnel qui empêchent de se surpasser
Dans sa vision, le «surpassement de soi » est fondé essentiellement sur la construction de motivations intrinsèques et propres à chacun. C’est la raison pour laquelle, au fil des récits de ce livre, il défait les habitudes de penser qu’il qualifie de mythes de la Haute Performance.
Selon lui, les 7 principales erreurs qu’il voit constamment en développement personnel résideraient dans les conseils suivants :
- Utilise ta tête pour performer
- Relaxe pour être un bon performer
- Connais tes limites pour te dépasser
- Fixe toi un objectif
- Travaille toujours plus dur
- Ne mets pas tous tes œufs dans le même panier
- Ne sois pas trop confiant
Comment alors remplacer ces mythes de la performance et changer de mindset ?
1- Faire confiance à son instinct plutôt que Utiliser sa tête lorsqu’on performe
L’état d’esprit de pleine confiance pour se surpasser
Lorsqu’on demande aux champions olympiques à quoi ils ont pensé pendant leur performance, très souvent, ils répondent qu’ils ont gardé le focus sur un seul élément. Cet élément est souvent une sensation physique.
En d’autres termes, ils vont se concentrer sur une seule pensée qui mobilise l’un de leurs cinq sens. Le fait de remplir tout notre esprit avec une unique sensation permet de ne laisser aucune place au questionnement et au doute sur nos capacités personnelles.
Cela permet aussi de faire abstraction de l’environnement pour ne pas s’évaluer au moment de performer.
Dans ces moments, la performance n’est plus une question de technique, mais juste un alignement d’actions que l’on exécute instinctivement.
John Eliot appelle cette phase le « trusting mindset ». Ce serait un moment où l’on pense comme un écureuil qui doit aller d’un poteau à un autre en suivant un fil électrique.
Une fois lancé, ce dernier ne peut évidemment pas s’arrêter pour réévaluer sa décision ou réfléchir à ses compétences. Autrement, il pourrait perdre l’équilibre et tomber. Il avance donc en confiance totale sur ses capacités et en fixant sa vue sur sa destination finale.
Le training mindset ou l’état d’esprit d’entraînement où on utilise sa tête
Le coach-psychologue oppose l’état d’esprit de pleine confiance, à ce qu’il appelle le “training mindset”. C’est une étape nécessaire dans l’apprentissage et l’entraînement, mais qui doit être abandonnée au moment de la performance.
Selon lui, ceux qui restent dans le « training mindset » vont performer dans un état d’esprit encombré par des stratégies et des évaluations continues de leurs compétences. Dans cette situation, les performances ne peuvent pas révéler le plein potentiel car limitées par le mental. Pour aller au-delà, la répétition de la pratique est indispensable.
C’est en instaurant des routines que l’on va acquérir des automatismes. En effet, les routines nous installent dans un état d’esprit de confiance (« trusting mindset ») lorsque nous devons performer.
#2- Contrôler son stress pour se surpasser au lieu de Se relaxer avant une performance
L’art d’utiliser le stress à son avantage
De nos jours le mot “stress” est devenu un mot fourre-tout avec lequel on exprimera aussi bien différents degrés de peur, d’angoisse ou d’anxiété. Pour cette raison, John Eliot dédie une partie du livre pour nous rappeler que c’est avant tout une réaction physiologique normale de l’organisme.
Le stress existe pour nous aider à nous adapter à une situation que l’on ne maîtrise pas et à laquelle on est confronté. C’est le cas par exemple lorsque nous ressentons de la pression de notre environnement, lorsque nous devons assurer une performance devant un public, etc…
L’activité du système nerveux parasympathique ralentit alors pour basculer toute l’énergie de notre corps au bénéfice du système sympathique. Le premier nous équilibre vers le calme alors que le second nous prépare à l’action.
Fonctionnement mécanique du stress
La fuite ou le combat
Lorsque le système nerveux sympathique prépare l’organisme à l’action, en réponse à l’élément déclencheur du stress, il va organiser la fuite ou le combat. Si vous avez entendu parler de « fight or flight », c’est de cela qu’il s’agit.
Les symptômes physiques du « fight-or-flight » se sont développés dans le corps humain depuis des milliers d’années, pour nous permettre d’agir le plus efficacement au plus haut niveau.
Les réactions visibles du corps
Les manifestations physiologiques telles que l’estomac noué vont s’enchaîner.
Par exemple, puisque la digestion ne sera plus prioritaire, le corps peut même rejeter les aliments qui restaient au fond de l’estomac. Ce qui explique les vomissements soudains des personnes qui tentent de gérer ce qui déclenche leur stress.
Aussi, les mains et les genoux se mettent à trembler, prêts à agir. Le cœur se met à battre plus vite pour mieux alimenter, en oxygène et en substances nutritives, les muscles sollicités par la performance. Les pupilles se dilatent et les sens sont en alerte pour relever un grand nombre d’informations sur un laps de temps très court.
L’enjeu du stress avant la performance
Sentir la pression qui va générer le stress et déclencher toutes les réactions physiologiques qui préparent le corps est donc indispensable pour se surpasser.
Dans le cas du trac avant les performances scéniques ou l’excitation avant les performances sportives par exemple, utiliser cette énergie préparée par le corps pourra faire toute la différence.
L’enjeu n’est donc pas de faire disparaître le stress, mais au contraire de l’utiliser pour atteindre notre plein potentiel. Il faut donc réinterpréter le stress de façon consciente, en lien avec un contexte précis et limité dans le temps.
Cela permettra d’éviter l’anxiété qui n’est rien d’autre que le maintien du stress en dehors du contexte pour lequel il a été « créé » par le corps.
#3 – Créer sa propre réalité plutôt que Connaître ses limites
Le piège inconscient des limites
Par le fait même d’évoquer nos limites, on fixe inévitablement un plafond à notre potentiel.
Or, l’auteur précise que dans chaque situation que nous vivons, 90% se joue au niveau mental.
Il rappelle que les personnes qui pensent de façon exceptionnelle ne se fixent en général pas de limites. Elles créent leur propre réalité et y font adhérer les autres.
Ainsi, il cite l’exemple de Richard Branson qui en créant Virgin Music n’avait aucune connaissance dans le domaine de la commercialisation de la musique. Mais, il voulait créer une offre à sa façon et a convaincu les autres d’y adhérer.
Plus récemment, on a l’exemple d’Elon Musk qui rêve de conquérir l’espace et de coloniser la planète Mars pour sauver le futur de l’humanité. Il porte son projet en pleine confiance sans fixer de limites à son rêve.
Citation de Mark Twain.
Le « syndrome des faux dieux »
Dans la vie de tous les jours, lorsque nous voyons des grands performers, nous avons tous tendance à adopter ce que John Eliot appelle le « False God Syndrome ».
On imagine alors que les individus qui ont du succès sont fondamentalement différents du reste du monde.
Or, ces personnes ont juste choisi leur façon de percevoir les choses et de penser que tout est possible. C’est un état d’esprit, une habitude qui peut se travailler pour chaque individu.
Renforcer le mindset au niveau du cerveau
Un mindset est tout simplement le résultat de nombreuses répétitions de connexions neuronales, avec la présence de beaucoup de neurotransmetteurs.
Changer notre façon de penser, va consister à créer de nouvelles jonctions synaptiques et à les renforcer par la répétition. Cela aura aussi pour conséquence d’affaiblir nos anciennes façons de penser au profit des nouvelles façon de penser que l’on adopte.
#4 – Poursuivre son rêve pour se surpasser plutôt que Se fixer un objectif
Faire des choses incroyables implique d’avoir un rêve incroyable.
Dans les sociétés d’aujourd’hui, avoir un rêve et en parler est devenu tabou. Les gens vont plus facilement parler de leur sexualité ou de leur intimité familiale que de leurs rêves.
Or avoir un rêve est un moteur fondamental de la motivation. Peu importe que notre rêve paraisse fou ou improbable aux yeux des autres. Aussi, avoir un rêve n’est pas forcément matériel. C’est un feeling. Un feeling tenace qui reste au fond de nous, peu importe ce qu’on entreprend. C’est notre ultime motivation.
Être réaliste est une excuse pour ne pas s’engager complètement à poursuivre ce qui nous fait réellement vibrer.
Comment utiliser les objectifs pour se surpasser ?
Les objectifs ne sont que les étapes qui nous permettent d’atteindre notre rêve.
C’est une façon d’obtenir des récompenses régulières pour produire de la dopamine et entretenir la motivation. Ils jalonnent notre engagement sur notre parcours vers notre rêve. Mais on ne peut baser notre performance uniquement sur des objectifs.
En effet, cela risque de nous limiter à du court terme. Penser seulement aux objectifs va nous amener à calculer et à nous évaluer constamment. C’est de cette façon que l’on maintient le « training mindset » et qui ne permet finalement pas de se surpasser.
Aucun rêve n’est impossible s’il apporte un réel sens à notre vie.
#5 – Être efficace plutôt que Travailler toujours plus dur
Le repos du guerrier
L’engagement vers une vision personnelle n’est pas une question d’heures de travail ou de sacrifices. De plus, on ne peut exceller dans sa performance en essayant d’être à fond, en continu.
Pour cause, le cerveau a aussi besoin de temps d’oisiveté et de loisirs pour régénérer son potentiel de créativité.
L’importance des messages envoyés au cerveau
Par ailleurs, le psychologue-coach souligne que lorsqu’on travaille continuellement dur et que notre engagement inclut le sacrifice de ce qui nous est le plus précieux, comme notre santé ou le temps passé avec ceux qu’on aime, notre subconscient va intégrer qu’il y a une bonne raison à cela.
Il explique que dans ce genre de situation, le cerveau va conclure que nous faisons face à un énorme obstacle qui justifierait ces efforts importants que nous déployons en continu.
Le corps se met alors en mode urgence. Les sucres vont être brûlés rapidement au lieu de fournir de l’énergie sur la durée, mais le gras va être stocké. Tout ce processus va augmenter la fatigue, la déshydratation et perturber le sommeil, impactant alors la mémoire et la concentration.
Le pancréas, en alerte, va dévier le sucre destiné au bon fonctionnement du cerveau pour le distribuer au reste du corps qui est en mode panique.
Se sacrifier n’est pas se surpasser
Ce processus d’acharnement au travail conduit souvent à des résultats bien en deçà des capacités de la personne. John Eliot parle dans ce cas de « over-motivated undeachiever » que l’on pourrait illustrer par des personnes « sur-motivées qui obtiennent des résultats moindres ».
La qualité de notre engagement est primordiale pour atteindre le plein potentiel. Un engagement sain tient compte de notre santé et de notre hygiène de vie. En d’autres termes, la performance repose aussi sur une bonne alimentation, un sommeil de qualité, des temps de loisirs ou de repos planifiés, mais également d’une vie sociale qui nous nourrit.
#6 – Se concentrer sur une seule passion au lieu de « Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier »
Ajuster le focus
Est-ce qu’un pilote de F1 pourrait être capitaine de l’équipe de France de foot à la fois ?
John Eliot souligne que les plus grands performers que ce soit dans le monde sportif ou dans celui des affaires disent souvent ne pas s’imaginer faire autre chose de leur vie que leur discipline.
Se concentrer sur un seul engagement à la fois permet de développer l’excellence personnelle dans la performance. Ce qui par conséquent va permettre d’économiser de l’énergie pour profiter des autres éléments importants de la vie.
Nous ne sommes pas notre échec
S’engager sur une seule voie implique d’accepter le risque d’un échec sur cette voie. C’est donc très important de garder en tête qu’un échec ne change en rien notre intelligence ou notre potentiel sur le long terme.
On peut considérer que c’est une opportunité de renforcer nos atouts et de nous découvrir des talents nouveaux sur le court terme.
C’est pourquoi, chaque obstacle est une opportunité d’avoir un succès et de grandir, en plus d’être une potentielle histoire drôle à raconter plus tard.
#7 – Croire que tout est possible plutôt qu’Éviter d’être trop confiant
Revoir nos croyances sur la confiance en soi
Parce que nous entendons trop souvent qu’il ne faut pas être trop confiant, John Eliot a tenu à défaire cette croyance. Les performers exceptionnels sont conscients de leurs capacités et ont confiance en comment ils vont optimiser leurs compétences dans leurs actions.
La confiance vient d’une vision et de l’exécution de cette vision.
Autrement dit, la confiance n’est pas le résultat du succès mais bien une de ses composantes principales.
L’auteur illustre ces propos en évoquant les superstars. Selon lui, ces derniers pensaient déjà comme des superstars bien avant d’avoir les résultats qui font qu’ils sont adulés par leurs fans et assaillis par la presse.
La confiance en soi vient de notre constance à rendre possible ce qui nous tient à cœur.
Développer sa confiance en soi pour se surpasser
Pour qu’elle soit réelle et durable, la confiance en soi ne doit pas dépendre de ce qu’on a accompli dans le passé. Autrement, nous perdrions notre sens de l’engagement vers le futur
John Eliot propose plusieurs pistes pour entretenir la confiance en soi, dont voici mes 3 favorites :
- La confiance en soi n’est pas de l’arrogance et ne remplace pas la préparation
- Ne pas confondre confiance en soi et stratégie. Une mauvaise stratégie peut conduire à l’échec malgré une bonne confiance en soi. D’autre part, une bonne stratégie peut ne pas aboutir s’il manque l’ingrédient de la confiance.
- Développer l’habitude de rester confiant même dans l’adversité
Pour conclure sur la question de se surpasser en restant zen
Au-delà des conseils très pertinents pour apprendre à canaliser et profiter du stress pour performer, ce livre aide à comprendre deux choses très importantes pour notre développement personnel.
1/ L’importance de la pratique et de l’intégration de la routine pour développer sa confiance au processus et sa confiance en ses capacités.
Si on a tendance à trouver notre confiance dans nos performances passées, à travers les explications de ce livre, on peut trouver la motivation à se discipliner pour s’entraîner au présent. La répétition permet de non seulement pratiquer nos compétences présentes, mais aussi de développer un état d’esprit de confiance pour nos réalisations futures.
2/ Travailler dur en continu ne garantit pas la réussite.
C’est l’efficacité du travail et la qualité du temps qu’on s’octroie hors travail, pour se ressourcer, qui va définir le succès de ce qu’on entreprend. Il est donc primordial à côté de la performance, d’apprendre à programmer et respecter ses temps de loisirs et de repos.
C’est la façon la plus saine de se surpasser en restant zen !
Vero, Mille fois merci! J’adore cette liste de mauvais conseils ou de fausses croyances… renversée! Je me permettrai sûrement de renvoyer les lecteurs de mon blogue à ton article la prochaine fois que j’aborderai le sujet de la réalisation de soi. Et puis, je vais lire ce John Eliot que je ne connaissais pas. C’est une belle découverte.
Wow ! Bravo Vero pour cet excellent article ! Je me suis retrouvé de nombreuses fois dans ces différents points. Enfin « le moi d’avant » puisque j’essaye d’y remédier depuis notre expat.😉 Le système dans lequel on vit nous formate parfois à la performance et la productivité à outrance. La succession des objectifs, la polyvalente excessive etc.. S’en vient ensuite la culpabilisation de penser à soi, de vouloir réaliser ses propres rêves et de réussir. Sincèrement, ton article est très inspirant ! Merci…😊
J’adore cette section « Créer sa propre réalité », c’est qu’on apprends quand on est sportif
Excellent article qui résonne, voir « raisonne » parfaitement en moi. tout est dit et très bien expliqué pour mettre en oeuvre une dynamique de performance. Merci pour ce partage et au plaisir de lire les prochains articles.
Super article ! Merci de nous offrir les clés pour avoir un mental de champion.
On retrouve bien au fil de ton article l’idée de focus sur l’objectif visé. être concentré, confiant fait beaucoup la différence dans la réussite.
Ce sont des conseils que la plupart des gens connaissent déjà, mais pourquoi est-ce si difficile de les mettre en oeuvre au quotidien ?
Bonjour,
Pour sûr, la nouvelle liste des 7 items pour performer est bien meilleure que l’ancienne ! A appliquer sans délai 🙂 Merci pour cet article 🙂
Merci pour cette article, je l’ai dévoré. J’ai particulièrement aimé la partie sur la création de sa propre réalité qui m’apporte des réponses à des problématiques actuelles. Tu m’as bien donné envie de lire le livre. Aussi, ce sujet m’a fait penser au « Flow » de Mihály Csíkszentmihályi.
Plein de conseils judicieux à rebours de ce qu’on voit le plus souvent. Se concentrer sur un seul objectif : ça résonne en moi qui suit touche-à-tout et n’arrive pas à choisir ! Avoir un rêve aussi ça résonne en moi. Merci pour ce bel article que j’ai mis en favori, je le relirai.
Un bel article de fond. Le stress tel que tu le décris correspond essentiellement à une émotion de peur. Le choix de « fuir » ou de « se battre » (ou d’une action plus tempérée entre les deux) dépend grandement de l’expérience acquise, et donc de la préparation. Si le cerveau sait que le corps est prêt à affronter une situation, il ne la percevra plus comme un danger et générera moins de « stress ».
Merci pour cet éclaircissement noir sur blanc!
Pour moi, tout est toujours possible!
Et pourtant, je fais face à mon entourage qui se moque souvent de mes idées, mes projets et mes rêves !
Merci de l’avoir noté et de nous en faire tous profiter!
Rêvons et agissons en être plein de confiance, dans l’amour!
Merci pour ce super article Vero ! Plus j’en apprends sur le développement personnel et plus je me rends compte à quel point tout est dans « l’état d’esprit ». Ca donne beaucoup d’espoir, de motivation et de confiance en soi-même (enfin je trouve !).
En tout cas tu expliques vraiment bien comment se surpasser et atteindre ses objectifs, peut importe leur difficulté !
Merci encore !
Ca c’est excellent ! . .. A bat les idées recues pour faire place à une version no limit de soi !
J’aime bien les remises en question des principes établis… Chaque personne doit trouver son canal de développement, c’est essentiel à la réussite.
Des réflexions très intéressantes et inspirantes ! Si avec tout ça, on ne construit pas un mindset en béton 🙂 Les pistes sur l’importance de poursuivre un rêve et d’être efficace me parlent tout particulièrement. Merci pour cet article !
Ton article tombe à pic. C’est exactement ce que j’avais besoin de lire aujourd’hui et à mon avis, je vais revenir plus d’une fois dessus!
Je trouve cette vision tellement positive et encourageante. Je ne sais même pas quel point je garderais en particulier tellement je les trouve tous intéressants. si je dois vraiment en choisir un, je dirais que je garde le fait qu’il faut avoir des rêves et croire en eux. C’est tellement vrai quand tu dis que, dans notre société, avoir des rêves ne se fait plus ou en tous cas, on n’en parle pas.
Merci beaucoup pour cette lecture!
Bravo pour cet article, limpide, sur une façon différente, et éminemment qualifiée, d’envisager la réussite et la performance. Je me sens déjà plus zen 😉 J’aime en particulier la partie sur la confiance en soi comme moteur de la réussite, plutôt que comme sa conséquence. C’est une chose que j’ai personnellement souvent constaté. Et, bien sûr, l’idée de poursuivre un rêve sans se mettre de limites. Le bonheur. Merci pour ces paroles motivantes !
Merci pour cette article , qui a été une source d’inspiration, et me remettre en question dans certaines situations
Brava Vero !
Quel article …
Moi qui suis en formation pour devenir actrice professionnelle, je me retrouve très souvent dans des situations stressantes qui me font douter sur mes performances artistiques.
J’avoue que tes conseils m’ont vraiment bluffés et je vais m’intéresser de plus prêt John Eliot que tu mentionnes.
Grazie !
Bonjour Véro! Bravo pour cet article et il me servira sans aucun doute moi qui suis amenée à prendre la parole en public, pas toujours dans la sérénité. Vais tester ces conseils! Merci!!!
Article fabuleux. J’aurai bien aimé lire le livre en français, mais si il semblerait que l’essentiel soit dans cet article.